En ces sombres jours où des femmes iraniennes meurent sous le joug de la « police des mœurs » pour avoir le courage d’oser simplement montrer leurs cheveux (quelle entrave aux « bonnes mœurs » peut-il y avoir dans ce geste anodin ?), déjà, en fin d’année dernière, le polar « Pas de répit pour Debbie » était déjà dédicacé à la liberté de la population iranienne, avec laquelle l’auteur est de tout cœur et renouvelle toute sa solidarité.


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